Notre gîte à Vierves nous à fait vivre un moment d’une histoire du 3ième type. Le bistro, tout petit était rempli d’un ensemble de locaux directement sorti du début du siècle passé. Nous devions être pour eux deux perdreaux de l’année. Tout était vieux, propre mais vieux.
J’ai eu l’occasion d’y retrouver un personnage haut en couleur locale avec qui j’avais réparé un vieux poste TSf il y a quelques années. Un vrai bricoleur de génie que mon ami et voisin Philippe et m’avais fait rencontrer.
C’est un très beau village, classé un peu abusivement à mon gout, plus beau village de wallonie. Probablement à cause de son beau chateau et de sa position en forte déclivité ou le viroin coule dans le bas.
La randonné vers Mariembourg est jolie et suit pour une large part le cours du Viroin avec des dénivellés raisonnables. Mais Michel et moi commençons à ressentir la fatigue des dernières étapes. Nous avençons avec lourdeur bien que la température soit parfaite pour randonner. Nous faisons vers 13 h une petite halte à Nismes où nous prenons sur la place à côté de l’eau noire ( ça rappelera à certain les cours d’école primaire avec l’eau blanche), notre repas du midi. J’ai vainement recherché la résurgence tout près mais sans grande conviction jai abndonné, ce sera pour une autre fois.
Nous arrivons à Mariembourg vers 15 heures ou le gestionnaire du gîte nous dit qu’il ne peut nous recevoir que vers 18 heures. Mais après un palabre, il nous donne accès à nos chambres spatieuses.
Nous allons quand même à la recherche des vieux trains vapeur dont nous trouvons un exemplaire à l’extérieur mais le hangard avec les autres exemplaires est fermé.
Un spaghetti au gîte et gros dodo, pour la dernière nuit de Michel, notre compagnon de route des 9 dernières étapes.