Nous avons donc logé au Beau SIte à Hockai.Tous les hoabitués de la traditionelle balade en Fagnes connaissent le lieu, où nous prenons le repas de fin de balade depuis plus de 40 ans.  C’est donc un gros clin d’oeil familial et amical d’y passer la nuit.  Nous quittons les lieux à 8h : l’IRM nous promet plus de 30° (tous en même temps…) et donc, plus on part tôt, moins on sera cuit (enfin, c’est le postulat de départ).

On commence par une looooongue descente bien caillouteuse (comme je les aime…) Jean Lou a moyennement bien dormi et l’étape est relativement longue donc on démarre gentiment.

Entre chemins dans les bois et prairies, nous quittons doucement le paysage de Fagnes pour entrer dans l’Ardenne profonde. Petite frustration: autant nous avons vu des chevreuils, des lièvres, des lapins, des hérissons en traversant le brabant wallon, autant maintenant, plus un animal sauvage à l’orizon (hormis les touristes hollandais, évidemment…).Sinon, les paysages sont magnifiques et les villages bien agréables à traverser.Et pas un randonneur à l’horizon.

31°, c’est chaud chaud pour marcher.  AU point qu’en arrivant vers STavelot, nous croisons un marchand de glace ..et Jean Lou succombe à la tentation.

Nous arriverons passablement liquiéfiés à Stavelot vers 17h et nous répandons littéralement à la 1ère terrasse de café en attendant notre bienfaitrice du jour.  Ce soir, et la nuit prochaine, nous logeons chez nos neveux Macha et Jean François et une partie de la famille nous y rejoindra (Céline, Cédric et les 3 choupettes) avec l’intention de faire un bout de rando ensemble.

Une chose nous a sauté aux yeux ; Jean Lou a tracé des étapes de longueurs plus ou moins égales tout au long de la rando, qauf que 25km dans le Brabant Wallon, ce n’est pas tout à fait pareil que 25km en Ardennes, avec entre 500et 700m de dénivelé + par jour_ Nous allons donc probablement aménager les prochaines étapes, surtout si les températures restent à ce niveau.

(NB.vous noterez l’absence totale de point d’exclamation dans ces jours ci et aussi de trait d’union : je ne parviens plus à les faire fonctionner sur le clavier).